Que vous travailliez dans un domaine qui sollicite votre créativité ou pas, les conférences du KIKK peuvent forcément amener un souffle de renouveau dans votre vie.

Chaque année, vous pourrez prendre votre dose de « claques », y puiser une inspiration, dénicher cette idée, ce petit « truc » que vous pourrez appliquer, décliner dans vos projets ou simplement dans votre propre vie. Heureusement, vous aurez à peu près 360 jours avant de revenir vous abreuver à la source: le temps de lancer un projet, de renouveler un processus, de lisser certaines pratiques ou, au contraire, de tout casser pour tout reconstruire. Vos joues auront le temps de se remettre, de cicatriser en douceur avant d’en reprendre plein la tronche lors de l’édition suivante.

Prenons un exemple au #KIKK18: DBLG (pour « Double G », ou Grant Gilbert). L’homme nous a fait rire mais il avait surtout très bien construit et rythmé sa présentation. Il nous a expliqué comment une imprimante 3D avait radicalement changé leur manière de créer, en effectuant de réguliers aller-retour entre le digital et la matière. Sans donner aucun ordre, il nous a incité à être créatifs (en-dehors du travail), à être nous-mêmes (et tant pis si ça ne plait pas à certains), à être courageux (même si ça sort du « cadre »), à affoler la personne qui s’occupe du budget (sans pour autant perdre le contact avec la réalité) ou encore à ne pas avoir peur de faire des erreurs (car tant qu’elles sont « artistiques », on peut en faire quelque chose).

Au-delà des aspects artistiques, des conseils créatifs que vous pourrez en retirer, les conférences du KIKK vous offriront aussi (et peut-être surtout) de précieuses leçons de vie. Plus directement et sans doute de manière plus impactante que n’importe quel film, livre, série...